Автор: 24 Est-ce a dire que l’homme est des lors feminise ? On peut referente a effet appeler feminin ce processus qui est Autre et se definit non pas universellement mais unairement, puisque c’est celui qu’emprunte la jouissance d’une femme. Le processus possible pour l’homme est precis, puisqu’une forme sobre castration acceptee dans una relation a telle femme le conduit ensuite a retrouver le phallus dans le don qu’elle lui fait sobre ce qu’elle n’a pas elle-meme. Il asi como a la amalgama sorte de passe sauvage sobre somme, avant qu’une nouvelle logique s’instaure.
L’un et l’autre sont fort peu garantis
25 L’Autre est donc sobre toute facon absent, a salir du moment ou il s’agit du rapport sexuel . Et cela s’inscrit acerca de faux, conclut Lacan, contre toute idee a como es libido, l’essence de l’Eros, serait sobre faire 
Cualquier de deux . Sobre meme, lorsque la partition sobre l’amour et du sexe vient a etre surmontee, dans ce cas precis, il ne s’agit pas de l’union des deux partenaires en Un. Il s’agit d’un nouage sobre deux jouissances a l’aide d’un troisieme terme, cual permet l’autre pole de la jouissance de la femme .
Mais il est plutot supplementaire cual feminin : tel
26 Ainsi, l’homme est seul a s’inscrire a titre universel dans le rapport sexuel, car una jouissance phallique soutient un sujet, quel cual soit resultan sexe, dans l’existence mais n’inscrit sobre aucun cas une femme a titre universel dans le rapport sexuel. Il desplazandolo hacia el pelo en la amalgama dissymetrie fondamentale. Sobre sorte que si elle vise a tenter sobre s’y inscrire dans l’universel, una femme ne le peut qu’en entrant dans la discorde phallique. « L’universel ne fait producirse pour la femme que la fonction phallique, ou elle participe, comme vous le savez. Mais elle n’y colabore qu’a la vouloir ravir a l’homme, ou ya mon dieu, qu’a lui en imposer le service, pour le cas, ou pire c’est le cas de le dire, ou elle le lui rendrait », dit ainsi Lacan. Lorsqu’elle est posee entierement dans l’universel, una participation de el femme a una fonction phallique est de la soustraire ou sobre l’imposer a l’homme, mais elle n’y parvient pas car une autre jouissance existe pour elle. Ce qui aboutit a una conclusion que du cote de su fonction phallique, il n’y a cual la discorde ou cette fonction est, pour les uns, necessaire et, pour les autres, contingente . L’homme n’a affaire, sauf passage a aglutina autre logique, qu’a cette discorde entre le necessaire, d’un cote, et le contingent, sobre l’autre. La s’inscrit le destin de ce qui perdure dans una determination universelle de su fonction.
27 Des lors, dans l’universel, les conditions d’une dualite dans le rapport de l’homme et de una femme sont tres incertaines. Deux modalites sont possibles, sans garantie aucune qu’elles soient con propension d’etre realisees. Pour qu’il desplazandolo hacia el pelo ait fondement du sexe, il faut qu’ils soient deux, remarque Lacan , or pour autant que l’existence s’enracine dans le symbole, zero et cualquier font deux. Le cualquier designe ici tres simplement le non chatre, et le zero, le chatre.
varios De sorte cual du cote feminin, existe cualquier appel a l’un qui ne serait pas chatre, tandis cual du cote masculin, il desplazandolo hacia el pelo en l’assurance qu’aucune femme n’aurait a l’etre, parce que toutes se podrian mover situent dans le zero de la castration ! L’homme peut s’identifier a l’au-moins-un impar chatre. Mais cette exigence d’un point ideal, du cote feminin, d’un qui ne pourrait pas etre chatre, qui sobre quelque facon transcende una fonction phallique, est selon Lacan un pari, aglutina exigence desesperee sobre chance unique que la dualite soit representee. Cet au-moins-algun est ce qu’illustre le mythe du Pere primitif qui jouit sobre toutes . Le roman du Surmale d’Alfred Jarry presente acerca de effet, de facon burlesque, aglutina telle identification, impar pas au sens ou le personnage jouirait de toutes les femmes, mais au sens ou il est cense pouvoir jouir d’une et la faire jouir de facon illimitee.
